Je suis un mordu du hockey. Du sport et des joueurs plus qu'un d'un club spécifique (depuis la disparition des Nordiques de Québec et de la retraite de Patrick Roy puis Joe Sakic de l'Avalanche du Colorado).
Les Jeux Olympiques en sont mon incarnation favorite, parce qu'ils mettent en valeur les meilleurs joueurs de chaque pays. Plus souvent qu'autrement, je prends pour la Finlande ou la Russie, presque jamais pour le Canada; l'an passé c'était pour les Slovaques et Jaroslav Halak. Et les Américains et leur vedette slovaque née à Québec, Paul Stastny.
Je regarde du hockey de tous les calibres: de la LNH presque chaque soir, du junior, du senior, du niveau universitaire, du semi-pro... j'aimerais probablement devenir entraîneur de gardiens, moi qui ai été un assistant-professeur dans une école de hockey pendant mes années Midget et Junior...
Il y a quelques semaines, j'ai amené mon père voir un match senior à Sorel, contre un club de Trois-Rivières, il me semble, et, pris dans l'ambiance de violence bon enfant qui y régnait, j'ai été déçu, en fin de compte, que les arbitres aient réussi à empêcher les matamores des deux clubs de se battre - par deux fois. On parle d'adultes consentants à des coups sur la gueule; il y avait, le même soir, à Québec, un combat de boxe de championnat du monde qui a rempli le Colisée... tout aurait probablement été fait dans les règles de l'art.
Pas un art hyper noble, mais quand même. C'est la marque de commerce de la LHSPQ, les batailles. C'en est son folklore.
Là où je déchante... en fait, il y a plusieurs cas où je déchante. Dans le hockey mineur, du hockey qui met en vedette des moins de 18 ans, absolument pas. Dans la LNH non plus: il s'agît de la meilleure ligue au monde, où les meilleurs joueurs doivent s'exprimer. Plus souvent qu'autrement, un matamore professionel est plutôt malhabile au 'vrai' hockey, il n'est donc pas à sa place dans la meilleure ligue au monde. Ça me frustre également lorsqu'un goon s'attaque à - et blesse - un joueur de talent, un club perd au change, l'autre y gagne trop, et la santé d'un être humain est mise en danger.
Mais les pires cas sont ceux qui impliquent des joueurs et des membres de la foule. L'ultime disgrâce. Comme c'est arrivé à St-Tite dernièrement, alors que les joueurs de Donnacona s'en sont pris à des spectateurs à coups de bâtons et de poings. En voici des extraits:
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