Non satisfait d'être le seul journal qui traite toujours objectivement le conflit social actuel (La Presse
fait du bon travail, mais non seulement les éditoriaux me frustrent,
les chroniqueurs restent campés sur leurs opinions en resassant des
arguments pris dans des blogues ici et là et se contentant de justifier
les chroniques passées plutôt qu'en amenant des idées nouvelles, et
c'est le cas même pour ceux ave lesquels je suis d'accord), Le Devoir donne maintenant dans le Cours d'Histoire Rapide 101 et dans la décortication avancée de la propagande.
Bon, ok, dans l'ensemble, les deux sont des textes critiquant la propagande, le premier celle de Stephen Harper et le second de Jean Charest,
mais à deux niveaux différents, en gardant toutefois l'idée de refaire
l'histoire en tête. Et ces tentatives sont immédiatement réduites en
bouillie.
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mardi 19 juin 2012
mardi 7 septembre 2010
Quand On Se Donne...
Bon, je vous avertis: rien de nouveau là-dedans. J'aime seulement que ces deux articles sortent le même jour:
1. Un texte de Jean-François Lisée, de L'Actualité, sur les gaz de schiste. Contrairement aux articles qui sont publiés partout, il n'est pas question, ici, de l'impact environnemental de son exploitation, mais bien du côté 'exploiteur' de ceux qui vont venir le cueillir - et du rôle de 'donateur' que le Québec va y jouer. Il y cite Charles Côté, de La Presse, de son article de samedi dernier:
Parce qu'au Québec, on donne nos ressources à qui veut les prendre. Sauf s'il vient d'ici. Et sauf si la ressource est artistique. J'y reviens bientôt.
C'est drôle, aux États-Unis, Oprah dit aux jeunes femmes que si elles se donnent au premier 'date', les gars ne les respecteront pas et elles seront toujours traitées comme des salopes. Et nous, au Québec, on se fait dévierger nos forêts, nos campagnes, nos lacs, nos aqueducs municipaux, nos gaz souterrains et nos porte-feuilles à tous les jours, sans chialer... et on se demande pourquoi personne ne nous respecte ou nous écoute quand on lève le ton. Juste de même...
1. Un texte de Jean-François Lisée, de L'Actualité, sur les gaz de schiste. Contrairement aux articles qui sont publiés partout, il n'est pas question, ici, de l'impact environnemental de son exploitation, mais bien du côté 'exploiteur' de ceux qui vont venir le cueillir - et du rôle de 'donateur' que le Québec va y jouer. Il y cite Charles Côté, de La Presse, de son article de samedi dernier:
En 2009, les sociétés pétrolières et gazières ont versé 893 millions au Trésor de la Colombie-Britannique pour obtenir le droit d’y faire de la prospection. En 2008, elles ont versé 2,7 milliards. [Dont 1,5 pour le seul gaz de schiste.]
2. Le Devoir qui ressasse la vieille nouvelle comme quoi Pepsi embouteille son eau Aquafina dans les robinets de Montréal, et nous les re-vend à des prix oscillant entre $3 et $6 le litre, alors qu'elle paie 10 cents... par 1000 litres pour utiliser l'eau. Pas pire marge de profit.En comparaison, en 2008-2009 et en 2009-2010, au Québec, les permis d’exploration pétrolière et gazière ont rapporté en tout 3,5 millions depuis deux ans.
Parce qu'au Québec, on donne nos ressources à qui veut les prendre. Sauf s'il vient d'ici. Et sauf si la ressource est artistique. J'y reviens bientôt.
C'est drôle, aux États-Unis, Oprah dit aux jeunes femmes que si elles se donnent au premier 'date', les gars ne les respecteront pas et elles seront toujours traitées comme des salopes. Et nous, au Québec, on se fait dévierger nos forêts, nos campagnes, nos lacs, nos aqueducs municipaux, nos gaz souterrains et nos porte-feuilles à tous les jours, sans chialer... et on se demande pourquoi personne ne nous respecte ou nous écoute quand on lève le ton. Juste de même...
mardi 25 novembre 2008
Une Envie De Boire Me Prend Ce Matin
Un article dans le Devoir de ce matin au sujet d'une nouvelle bière, L'Indépendante, brassée pour, euh, mousser la souveraineté, étrangement absente de l'actuelle course électorale provinciale dénudée de passion.
Ce qui est dommage, c'est que ça m'en a donné le goût, drette là, d'en boire une. Mais je ne sais pas où en pogner... et j'ai comme l'impression que, pour une fois, une Sleeman verte ne viendra pas combler mon envie...
Et pour ceux qui se demanderaient pourquoi l'envie d'une bière me prend à 11h le matin, sachez que je n'ai pas encore dormi, moi qui suis réveillé depuis 8h hier matin.
Ce qui est dommage, c'est que ça m'en a donné le goût, drette là, d'en boire une. Mais je ne sais pas où en pogner... et j'ai comme l'impression que, pour une fois, une Sleeman verte ne viendra pas combler mon envie...
Et pour ceux qui se demanderaient pourquoi l'envie d'une bière me prend à 11h le matin, sachez que je n'ai pas encore dormi, moi qui suis réveillé depuis 8h hier matin.
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