Les lecteurs les plus assidus noteront que, récemment, j'ai beaucoup plus souvent répondu à des textes de Marie-Claude Lortie que de Patrick Lagacé.
Les raisons sont fort simples: Lagacé écrit beaucoup moins, et quand il le fait, il écrit moins de conneries. Lortie, elle, écrit des chroniques et des blogues qui font réfléchir. Qui me font réfléchir, du moins, car il semble que la pauvre en endure des vertes et des pas pures.
Sérieux. En 2011. Au Québec.
Sacrament.
On n'est pas sortis du bois.
Notons qu'elle mentionne que ce n'est pas mieux ailleurs; vrai, sauf qu'ici, généralement, je m'étais habitué à ce qu'on soit en avance sur les autres vis-à-vis les droits et le respect de tous: minorités visibles, homosexuels, femmes.
C'est ben beau les jokes de mon'oncle, mais faut montrer que c'est une blague; sinon, on devient le con qu'on imite. Et ça, c'est moins drôle pour tous.
vendredi 11 novembre 2011
Crisse De Caves
Libellés :
blogues,
cyberpresse,
La Presse,
Marie-Claude Lortie,
Québec,
sexisme,
société
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire