lundi 21 mars 2016

Plus Ça Change...





Tsé, quand même, on parle de 1997...




mercredi 8 juillet 2015

L'Affaire Jean-François Mercier

Jean-François Mercier est un auteur et humoriste qui donne dans l'humour crû, crasse, vulgaire, et quand même somme toute relativement intelligent, généralement à deux ou trois degrés de sens.

Il a dépassé une borne en postant ceci sur sa page Facebook:

S’habiller sexy et se déhancher de manière suggestive dans une discothèque pour ensuite se plaindre des regards insistants des hommes, c’est un peu comme manger de la crème glacée dans un village éthiopien et de dire: ''Coudonc calice, pas moyen de manger un cornet icitte sans se faire regarder!''
L'internet a, évidemment, réagi fortement. ''Culture du viol'' surtout, racisme parfois (à tort, il visait la pauvreté, pas la race, ça me semble pourtant clair, mais tant qu'à être offensé, les susceptibilités s'en sont donné à coeur joie), on l'a tellement attaqué qu'il en a fermé son compte Facebook.

Voici ma réaction:

Même si je trouve que la réaction des internettes a fini par ressembler à du bullying (intimidation) à 20,000 contre un, 1. je ne pleurerai pas sur le sort de JF Mercier qui, j'espère, est capable d'en prendre autant que d'en donner, et 2. c'est un débat de société qu'on se doit d'avoir.

Il faut clarifier aux deux côtés que 1. la culture du viol existe (de l'un), mais que tous les regards vers l'autre sexe n'en est pas necessairement (de deux). Faut devenir une société d'égaux forts, pas des victimes qui pleurent tout le temps. Et pas dans le sens de ''blame the victim'', tant qu'on ne retournera pas à l'âge de pierre, qu'on sera dans une société hyper-politically correct super prude, de porter peu de linge va choquer (voir Cyrus, Miley, qui a fait ce que Britney Spears et Madonna ont fait avant elle mais a eu encore plus de backlash). Mais porter peu de linge, bien que visible (et donc que c'est ok de regarder poliment) ne veut pas dire ''viens toucher, mononcle''.

Mais avant, il faut aussi décider ce qu'on est en tant que société. L'Occident? L'Amérique? Du Nord? Le Canada? Le Québec? Toutes ces entités ont des définitions différentes d'égalité et de droits. Et toutes n'ont pas évolué au même rythme non plus.

C'est pourtant facile: t'es un humain, t'as les mêmes droits que l'autre humain. Incluant, heureusement pour M. Mercier, le droit d'être con. Et pour ses bashers, le droit de le traiter de con. Y'a juste les personnes en position d'autorité morale (profs, patronat, gouvernement) qui se doivent de rester neutre sur tout et de ne pas juger, y compris ne pas juger les cons et les servir quand même.

Puis juste pour revenir à ce qu'il a dit... quand Mélanie Couture fait un sketch de 7 minutes sur exactement ça, c'est correct, parce qu'elle est une femme, et une ancienne sexologue de surcroit, donc elle a le droit de juger. Mais Le Gros Cave (le nom de son personnage) a enfin dépassé LA BORNE? Il a déjà dit pire, et je l'encourage à dire pire à l'avenir. Ça en prend. Sinon tout est trop aseptisé. Et c'est bien que des gens soient outrés. Mais come on, on est allé un peu fort dans la réplique.

''Sticks and stones may break my bones but words will never hurt me'', qu'on se faisait dire, quand on était jeunes. Il y a des exceptions, comme le harèlement moral continu, encore une fois surtout exercé par une personne en position d'autorité ou d'égalité (les exemples ci-haut, plus la famille et conjoints, mettons). Mais dans un contexte de cour d'école comme l'internet semble l'être devenu, faudrait que le monde ''grow up'' et ne s'offusque pas aussi facilement.

Combien de filles se sont vraiment, dans la vraie vie, fait harceler physiquement dans des bars pendant qu'on réagissait au gars qui n'en toucherait pas une pour vrai, c'est quoi les statistiques, mettons au Québec? Une à la minute? Et on blâme le messager au lieu du problème? C'est ça qui me décourage. C'est la quantité d'efforts qu'on a mis pour lui faire fermer son Facebook, quand 20,000 ''t'es cave'' auraient suffi à faire passer le mécontentement.

Il a juste tort à moitié quand il se défend en disant qu'il est féministe. C'était la pire défense possible, mais comme un rat dans un coin, il l'a sorti. Dans son cerveau, oui, il est probablement pour l'égalité pour tous, comme la plupart du monde ici. Sa yeule, moins. Mais l'effort qu'on a mis, on devrait la mettre à ceux qui mettent l'effort à imposer des limites sur le nombre d'avortements par année, sur les ministres conservateurs qui chaque année passent des ''projets de loi privés'' pour l'abolir complètement. Du monde élu à répétition, là, qui sont payé par nos taxes et impôts. L'équité salariale qui, bien que loi, n'existe pas encore. Sont où les ''fan pages'' Facebook de ça? Les policiers qui conseillaient aux filles de PAS prendre le taxi en ville l'an passé à cause d'un chauffeur violeur. C'est pas votre job de l'arrêter, à la place de dire aux filles comment mener leur vie?

Moi, c'est ça qui m'énarve. Sur ce sujet-là, du moins. Je m'énarve autant sur la racisme, les droits LGBT, et encore plus sur Carey Price. Lui, astie, ch'pas capable. Price, c'est pire que Philippe Couillard pis Stephen Harper ensemble, parce qu'au moins eux, une fois de temps en temps, ils en arrêtent une dans le top-corner (surtout une subvention à un programme social).

dimanche 1 février 2015

Mononc' Serge Sur Charlie Hebdo

C'est probablement de mauvais goût de ne pas écrire pendant un an dans la langue de Molière pis de juste câlisser un vidéo de Mononc' Serge quand on devrait écrire un texte de 100 pages sur le sujet: Charlie Hebdo.

Mais ce sera pour une autre fois. Pis le mauvais goût, ça fitte tellement.


jeudi 3 janvier 2013

Ouate De Phoque

Protégez-Vous a publié un palmarès des meilleurs ''hein?'', ou si vous préférez, des ''meilleures pires choses qu'ils ont trouvé sur des boîtes d'objets''.

En voici quelques-uns:















On s'entend, le dernier n'est pas d'une compagnie étrangère (quoique...), mais bien d'une compagnie canadienne!

dimanche 9 septembre 2012

Faux Débat Nationaliste

On commence déjà à faire de la politique de ruelle sur les réseaux sociaux, alors qu'on compte encore en heures un moment où un ''fou'' a tenté un crime qu'on n'ose plus nommer ''politique'', et où on a blamé les médias anglophones (ceux de Toronto comme le Globe And Mail et National Post, surtout, mais aussi la section commentaires de The Gazette) de targuer tous les québécois (même ceux qui ne sont ni nationalistes ni indépendantistes) de nazis et d'associer le PQ (un parti social-démocrate nationaliste) à Hitler (le mot ''nazi'' est une abbréviation de nazionalsocialist, que je crois ne pas avoir à traduire).

Mais attacher au nom d'un parti sa signifiance est faire une grave erreur: aux USA, les partis Démocrate et Républicain représentent inversement ce qu'ils représentaient il y a 150 ans; les Libéraux de Charest ou de Chrétien ont tout fait pour enlever des libertés; les Conservateurs ne veulent rien conserver, que ce soit en environnement, en lois sur la vie privée, en droits des femmes; le Parti Révolutionnaire Institutionnel au Mexique a bel et bien institutionalisé la corruption, mais en quoi a-t-il été ''révolutionnaire'' (lire: pour le peuple)? Les exemples pleuvent...

C'est ainsi que je suis malgré moi entré dans une conversation en ouvrant l'internet il y a une dizaine de minutes:


Bon, clarifions: par ''loi 101'' pour les anglos, je ne parle pas d'afficher uniquement an anglais dans le West Island, les Cantons-de-l'est et l'Outaouais... mais mettons avoir un service à la clientèle au moins parfaitement bilingue pour servir le monde dans leur langue. Si le français doit prédominer une affiche (51%? - si c'est assez pour gagner un référendum, on devrait se sentir aussi confortable d'avoir la même marge sur l'affichage, surtout que les endroits qui seraient affichés en plus de deux langues, soit le chinois ou l'espagnol en plus, dans des quartiers ethniques, genre, devraient tout de même se conformer au 51% et devoir rapetisser les autres langues...), pourquoi ne pas avoir l'audace et les couilles de laisser l'autre langue s'afficher en plus petit pour les ''tout aussi indigènes que nous'' et les touristes dans ces cas spéciaux? Ça ne changerait rien à Hérouxville ou Bois-Des-Fillions, carosse, y'en a pas d'anglos qui vont là-bas, pourquoi les téter?

Le plus beau compliment qu'on pourrait faire à nos anglos serait de leur montrer que nous n'aurions plus peur d'eux chez nous - si ''chez nous'' il y avait. Protéger leurs acquis. Les aimer. Écouter leurs tounes (Arcade Fire, Wolf Parade, Sam Roberts, April Wine, Men Without Hats, Gino Vanelli, Céline Dion), regarder leurs films (The Trostsky, Juno, même Gandhi et Ghostbusters ont leurs racines ici), manger leur bouffe... ok, pas leur bouffe, on va manger celle des allophones à la place, mais quand même.

La loi 101 a fait du bien en tabarnak et doit demeurer. Mais on doit aussi apprendre de notre propre histoire pour ne pas faire en sorte que nos voisins, maris, cousins, employés, concierges, propriétaires, médecins anglos ne sous sortent un moment donné leur propre version du classique de Michèle Lalonde, Speak White, parce que ça ferait dur en sacramant de se faire re-shooter ça dans la face.

mardi 19 juin 2012

Le Devoir Impressionne

Non satisfait d'être le seul journal qui traite toujours objectivement le conflit social actuel (La Presse fait du bon travail, mais non seulement les éditoriaux me frustrent, les chroniqueurs restent campés sur leurs opinions en resassant des arguments pris dans des blogues ici et là et se contentant de justifier les chroniques passées plutôt qu'en amenant des idées nouvelles, et c'est le cas même pour ceux ave lesquels je suis d'accord), Le Devoir donne maintenant dans le Cours d'Histoire Rapide 101 et dans la décortication avancée de la propagande.

Bon, ok, dans l'ensemble, les deux sont des textes critiquant la propagande, le premier celle de Stephen Harper et le second de Jean Charest, mais à deux niveaux différents, en gardant toutefois l'idée de refaire l'histoire en tête. Et ces tentatives sont immédiatement réduites en bouillie.

samedi 19 mai 2012

Un Fossé Générationnel



Quand les Libéraux de Jean Lesage ont pris le pouvoir, ils ont commencé la Révolution Tranquille qui nous a sorti des années Maurice Duplessis, de l'assouvissement, des années de misère. Ils nous a fait psser des années 30 aux années 50.

La fin des années  60, elle, partout en Amérique du Nord et dans certains pays d'Europe, a été le théâtre de la contre-culture, qui a aussi amené son lot d'avancements idéologiques, égalitaires (femmes, Noirs, sentiment anti-guerre, etc).


L'identité Québécoise, elle, telle qu'on la connaît, a pris son envol au milieu des années 70, avec les shows de la St-Jean sur le Mont-Royal et culminant par la première victoire du Parti Québécois de René Lévesque.

La société a peu et très changené depuis, en même temps. Il y a une grande partie de la population qui croit que tout est encore beau, que nous vivons dans un monde créé par ces événements, mais qui se targue, en plus, d'être plsu '''réaliste'', surtout économiquement.

D'autres veulent modifier notre façon de faire pour qu'elle revenienne plus idéalistes, notamment les jeunes.

Certains ''vieux'' semblent oublier que les principes défendus par les jeunes sont les mêmes que les baby-boomers ont obtenu il y a 50 ans, traitent les jeunes d'enfants-rois et utilisent un ton méprisant quand vient le temps d'un véritable débay de société. Un ton, qui, souvent, rappelle celui du ''s'ils sont pas contents, qu'ils retournent dans leur pays'' du débat des accomodements raisonnables... sauf que la jeunesse, son pays, il est ici.

C'est elle qui devra vivre dedans le plus longtemps, c'est elle qui est ignorée quand vient le temps de le (re)modeler. En plus, on ne parle d'elle et de ses revendications que quand il y a des débordements (de la casse, de la violence - peu importe le ''bord'' qui commence). Crisse - sont pas cons, si c'est juste quand ça pète qu'ils passent à la TV et que le Premier Ministre Jean Charest se pointe le visage - lui qui, en plus de trois mois de crise n'a JAMAIS rencontré les étudiants - ben, ils vont en faire de la casse!

Les boomers semblent oublier que les hopitaux ''gratuits'', l'éducation ''gratuite'', les pensions ''généreuses'' - non seulement ce sont eux qui les ont obtenus, en se battant contre leurs aînés, en se faisant traiter d'enfants-rois, ce sont également eux qui, une fois ayant trait la vache, se sont assurés de la saboter bien comme il faut, à sabrer dedans au point où plus rien n'est gratuit ni généreux - sauf, bien entendu, les contrats gouvernementaux empreints de corruption généralisée.

Tout ça dans le territoire le plus imposé et taxé en Amérique.

On enlève des services aux citoyens pour payer les amis du Parti et la mafia, dont un, Tony Accusro, est milliardaire grâce à ses contrats!

Les boomers, ça chiale quand on parle d'instaurer des péages aux ponts, d'augmenter la taxe sur l'essence... mais les jeunes qui veulent avoir droit aux mêmes services qu'eux ont eu, faudrait qu'ils ''fassent leur part''?


On ne s'est pas compris, Papi.


Ce n'est pas que vous nous avez élevé à tout avoir, tout cuit dans le bec. NON.


C'est que vous nous avez élevé dans un pays démocratique, socialement responsable, qui va prendre soin de ses aînés autant que sa jeunesse, que la prochaine jeunesse. Vous nous avez élevé dans un pays fondé par deux peuples qui s'haissaient et qui finiront inévitablement par se séparer en nous disant qu'il fallait préserver notre identité pour ne pas être perdus quand le temps arrivera.


Vous nous avez élevé dans un pays de Chartre des Droits, où l'ONU nous considérait la Voix de la Raison; qui se soucie de l'environnement et ne donnera plus jamais nos ressources naturelles à des étrangers qui nous ''mangeront la laine sur le dos''.


Vous nous avez élevé dans un pays où être au service de son peuple était de l'écouter, de l'aider à progresser, un pays où on pouvait se permettre gouvernement minoritaire après gouvernement minoritaire pour modérer les points de vue; un pays qui privilégie la santé et l'éducation - deux clés à l'autonomie intellectuelle et économique.


Vous vous êtes battus pour ce pays; nos grand-parents ont souffert pour vous le donner; nos ancêtres s'y sont installer sans savoir qu'un jour, l'Utopie serait presque possible - si seulement ceux qui avaient mis en nous ces rêves n'avaient pas changé leur chemise de bord.


On ne te veut pas de mal, Papi. On va prendre soin de toi, parce que tu as fait la preuve pendant 40 ans que tu n'en étais pas capable. Nos routes sont une risée mondiale, nos hopitaux sont contaminés d'un mur à l'autre, nos citoyens s'engueulent à ne plus rien entendre, nos forces de l'ordre sont trop occupées à prendre des photos des jeunes ou les tabasser pour faire leur vraie job (arrêter des criminels, traquer des voleurs, des violeurs, résoudre des meurtres), le Fédéral rie de nous et à chaque jour brime notre droit de parole, nos buildings s'écroulent, nos maires abusent de leur titre.



Tout ça, c'est vous.


C'est vous comme la peur d'élire André Boisclair parce qu'il préfère dormir (ou pas) avec des hommes, alors que vous n'avez jamais jugé bon d'élir une femme (Kim Campbell, on se rappelle, c'est Brian Mulroney qui l'a placée là quand il a vu qu'il perdrait ses élections).


En analogie de hockey, certains d'entre vous avez été des Pierre Gauthier, d'autres des Réjean Houle; dans la plupart des cas récents, vous avez été des flops monumentaux, des erreurs monstrueuses.


Nous méritons la chance de vous démontrer comment ça pourrait marcher, aprce qu'avec vous, chers dinosaures, nous marchons vers l'extinction.

mercredi 16 mai 2012

Donnez Votre Opinion Sur Le Budget

Avouez que petit à petit, que ce soit au niveau fédéral, provincial ou municipal, le pays dans lequel nous avons grandi disparaît.

Bien que ça ne changera rien parce que le NPD est minoritaire, ce dernier demande notre opinion vis-à-vid le dernier budget fédéral, qui cache des sous-clauses étonnament antoi-démocratiques.

Ils le font par internet, ici.

Voici ce que j'ai écrit:
Le Canada dans lequel j'ai grandi était le leader moral mondial incontesté, qui était écouté par le monde entier et l'ONU quand il prenait la parole, où on prenait soin de nos pauvres, de nos aînés, où on privilégiait l'éducation et la santé, où les libertés individuelles étaient protégées autant que la vie privée, où il était acquis que notre environnement était quelque chose à préserver, où la ''libre entreprise'' n'égalait pas l'abolition de la protection des travailleurs. Celui dans lequel on se dirige ressemble beaucoup plus à une république de bananes, quasi-totalitaire, à moitié monarchique - et je dis ça moins par la ré-introduction de la Reine partout que parce que Stephen Harper gouverne comme un Roi du Moyen-Âge, celui qui volait aux pauvres pour en faire profiter sa cour et ses amis.

jeudi 23 février 2012

Débat Houleux Sur Facebook

Le prix des études universitaires fait jaser sur ma page Facebook...

Pendant que je poste des images telles que:

et


ça jase. Et c'est bien correct.

Mais quand j'ai partagé le statut suivant d'Amir Khadir, la marde a pogné:
Motion de censure visant à faire tomber le gouvernement inscrite par Québec solidaire : Que l'Assemblée nationale retire sa confiance et blâme le gouvernement libéral pour la grave atteinte à l'accessibilité aux études et au droit à l'éducation que représente laugmentation cumulative de 1 625 $ en frais de scolarité pour des études universitaires à temps plein. La motion sera débattue mardi prochain.
Voici le fil de la conversation, qui se poursuit toujours à l'heure actuelle:


Bon, j'ai plus besoin d'un break de mes créanciers que d'encouragement, mais j'apprécie l'aide d'un ami dont la pensée est plus à droite que la mienne... parce que si on ne faisait que s'entourer de personnes qui partagent notre opinion, la palette de couleurs de notre vie serait composée de fluos et de gris, alors que les noirs, le blanc, et les couleurs flashes-sans-être-fluos sont si agréables...

Et Pô Paul s'apprête à se lâcher lousse... âmes sensibles... (c'est drôle, mais c'est rough, en venant de lui, ça fitte avec le bonhomme):


Et ma dernière rétorche avant de déjeuner (en deux parties parce que j'écris des romans):


Vraiment, du grand art!